- Une ville que les
habitants et les commercants quittent pour des raisons d'impots
locaux déjà parmi les plus chers de France, et
qui ne cessent d’augmenter à des taux parmi les plus élevés
de France
- Des employés
et des élus municipaux qui ne peuvent habiter en ville car
les impots y sont trop chers
- De l’utilisation
d’une partie importante de ces impots (plus d’un
demi-million d’euros) dans le seul budget de communication
du maire pour essayer de faire croire le contraire quand c’est
malheuseusement faux et que chacun peut le constater dans ses
impots.
- De médecins
qui ne s'installent plus à Nevers parce que le nombre
d'habitants a diminué, rendant la ville insuffisamment
attractive à leur investissement d’installation. Savez-vous
que quatre médecins généralistes quittent
Nevers en 2008 et ne sont pas remplacés ? Savez-vous que les
délais d’attente pour un rendez-vous chez l’ophtalmologiste
sont de 6 mois environ ?
- De défiguration
des Bords de Loire sans l'aval des habitants par des bâtiments
inutiles et au final non utilisés et à louer
- Des jeunes obligés
de quitter la ville pour les études et le travail et du coup
au final des parents se retrouvant trop tôt isolés
de leur enfants
- De pistes cyclables
qui n'en sont pas
- de parkings en ville
qui sont si chers le samedi, alors que la circulation est
incompréhensible et que du coup les commerces sont en
sous-activité, n'embauchent pas ou ferment: ChateauRenaud,
Natalis, Le Grand Café, Librairie Caractères.
- de chemin de Bords de
loire qui ne sont pas pratiquables et qui au vu des budgets
2008 le resteront : 6/10.000 du budget de la communication du maire.
- d'un manque de
vigilance sur la gestion de grands projets qui dérapent et
coutent au final bien plus chers que prévu. Exemple : le
musée Blandin. En particulier elle veut vérifier
que le projet de piscine: a) inclut bien un engagement de baisse des
couts de fonctionnement avec pénalité pour le
constructeur b) inclut bien le budget de démolition des deux
autres piscines.
- de maires qui partent
en voiture avec chauffeur passer les trois-quart de la semaine à
Paris ou ailleurs sur d'autres sujets que ceux de la ville et de son
développement
- de budget de
communication qui ne servent qu'a mettre en valeur l'élu, pas
ses administrés.
- de SDFs à qui
l'on ne demande pas d’adapter certains comportements notamment au
regard del’accueil excellent dont ils bénéficient
de la part de ville au Prado, et ainsi de respecter les Neversois
qui participent financièrement à cet accueil de
qualité
- d'élus qui
demandent ce qu'ils veulent aux gens en 2020, mais ne les écoutent
pas sur le comment faire dès 2008
- Car il y a de
nombreuses urgences à traiter et à ce titre la grande
opération de communication sur le TGV à de quoi faire
sourire : un TGV qui passera à Nevers au plus tôt dans
15 ans et sur lequel on communique et on pétitionne comme si
cela pouvait être une victoire du sénateur-maire alors
que sur ce dossier son pouvoir est infime, aussi important que celui
de n’importe quel citoyen. Croit-il que l’on va oublier ses
erreurs de gestion avec ce dossier ? Non, toutefois nous appelons
tous les habitants à signer la pétition car nous
voulons, comme tous les neversois, que ce train soit un levier
supplémentaire au service du développement de la
ville. Mais c’est bien aujourd’hui et non dans 15 ans que nous
voulons travailler et vivre à Nevers
- d'une police
tellement mobilisée à faire sa quote-part du budget
d'investissement avec les amendes qu'elle en est moins disponibles
pour les habitants. Avec Martine Mazoyer l'argent que doit récolter
impérativement la police sera en fait collectés par
les taxes professionnelles de sociétes et de commercants
qu'elle aura aidés à se développer. et par les
nouveaux habitants qu'elle aura fait venir – et ce sans augmenter
la pression fiscale.
- d’un budget de
fonctionnement pour le handicap qui soit 2% de celui de la
communication du maire.
- d'un projet 2020 où
l'on ne voit le salut de Nevers qu’en la banlieue dortoir de
Paris.
- des meilleures
excuses pour ne pas faire: entendre que c'est la faute à
Sarko, la faute aux USA, la faute à Marzy, la faute aux
commercants, la faute à la région, la faute au conseil
régional... quand bien des fois c'est la faute à pas
assez de savoir faire municipal dans les dossiers de gestions, ou
d'un "trop bien savoir faire" dans les calculs électoraux.
Le RSA de Martin Hirsh c'est qd meme pas Sarko qui l'a refusé
pour la Nièvre. Encore moins les RMIistes qui eux le
souhaitaient.
- des grosses ficelles
politiques indignes de notre ville: 11eme année de pause
fiscale qui est en fait au final de l’impot payé une 11eme
année de hausse de nos impôts locaux